« The greatest trick the devil ever pulled was convincing the world he didn’t exist » citation extraite du film « Usual suspect » de 1995.
Saviez-vous que environ 113 000 enfants disparaissent en Grande-Bretagne chaque année.
Vous n’arrivez pas à y croire ?
Eh bien je vous encourage à faire une rapide recherche sur internet :
https://duckduckgo.com/?t=ffab&q=missing+children+in+uk+2020&atb=v79-1&ia=web
Plus précisément je vous encourage à lire cet article :
Eh oui, en le parcourant, vous trouverez le chiffre sus-cité. Mais aussi le chiffre délirant de 460 000 enfants disparus aux USA… Et le pire, c’est que ces chiffres semblent en deçà de la réalité car certaines disparitions semblent… ne pas être signalées…
Comment ai-je obtenu cette information ?
Eh bien c’est un membre de ma famille qui est tombé sur un livre récent sur le sujet. Après en avoir entendu parler lors d’une émission sur la radio « France-culture ».
Ce livre se nomme « Ne t’éloigne pas » de Harlan Coben :
https://www.cultura.com/ne-t-eloigne-pas-9782714498106.html
Ce livre est un roman mais il est basé sur ces terribles données et événements. Et il pose de très nombreuses questions.
Pourquoi ne parle-t-on pas davantage des disparitions d’enfants ?
Concernant la Grande-Bretagne : pourquoi la presse britannique n’en parle pas ? Ils ont pourtant une presse à scandale très virulente (confère le journal « The Sun »). Pourquoi leurs hordes de politiciens n’en parlent pas non plus ? Pourquoi la famille royale, elle-même, n’en parle pas ? A minima, d’un point de vue économique, quel pays pourrait se désintéresser du fait que 113 000 potentiels travailleurs disparaissent ?
Les mêmes questions se posent pour les USA. Voir disparaître 460 000 citoyens, c’est ennuyeux non ?
Pire encore, alors que internet nous promet chaque jour, un accès toujours plus rapide à l’information, il semble que ces actualités totalement dingues… soient totalement occultées.
L’affaire Epstein, à côté de ces chiffres… semble n’être qu’une tête d’épingle…
Comme vous le constatez par vous-même, il n’y a que des questions et pas de réponses… Des questions qui font vraiment froid dans le dos…
Quid de la France alors ?
Eh bien les choses ne sont pas plus nettes !
Quelques articles de presse traitent du sujet :
ou encore :
51 287 disparitions en 2019. Mais pas de chiffres pour l’année 2020… Et l’association qui gère le numéro d’alerte anti-enlèvement est aux mains de… L’État.
51 287 divisé par 365 cela donne 140.51.
Donc plus de 140 disparitions d’enfants par jour en France.
Si on fait 140 divisé par 24 cela donne 5.83.
Donc plus de 5 disparitions d’enfants chaque heure en France ?
Et personne ne vous en parle ?
Mais n’ayez crainte braves gens ! Les autorités vous rassurent de suite ! En effet, concernant ces chiffres, les pouvoirs publics affirment que « La grande majorité sont des fugues ». C’est d’ailleurs, ce que s’empresse de préciser la voix de son maître ! Le « fact-checkers » de l’AFP s’il vous plaît :
Sauf que la doxa officielle se prend les pieds dans son propre tapis… Car dans cet article, elle affirme que « les disparitions inquiétantes non-élucidées ne représentent pas plus de 10 cas par an selon les chiffres officiels » or si l’on lit l’article de la voix du nord (cité plus haut) ce n’est pas 10 mais… « 918 disparitions inquiétantes » qui sont recensées par la place Beauvau. Soit 91.8 fois plus que la version officielle… Une toute petite erreur de l’organe de vérité de l’État…
Quid de l’efficacité de « Alerte enlèvement » alors ?
Ce spectaculaire dispositif ne semble pas vraiment utilisé car, officiellement, il y a quand même (a minima du minima) plus de 2 disparitions inquiétantes par jour dans l’hexagone ? En effet 918 divisé par 365 jours par an cela donne 2,51.
Et est-ce que vous voyez le plan « Alerte enlèvement » déployé sur les réseaux sociaux deux fois par jours vous ? Non ? Moi non plus.
Imaginons un instant que l’ultra-majorité de ces disparitions soient vraiment des fugues. Cela pose quand même un nombre de questions impressionnant ! Que fait-on pour éviter cela ? Pourquoi ces enfants fugueraient-ils ? L’État peut-il prendre en charge des enfants victimes d’abus sexuelles, abus physiques ou abus moraux ? À ces questions… les autorités répondent par un lourd silence.
Pour information, vers 2005, j’avais signalé un cas d’enfant maltraité et exploité dans un atelier. Une image horrible qui me reste dans les yeux. La personne que j’avais eu au téléphone m’avait répondu que ils ne pouvaient rien faire… En 2016, j’ai signalé, preuves à l’appui, des violences envers une jeune fille de la part de son père… Eh bien c’est la police qui m’a dénoncé à son père… Imaginez ce que j’ai vécu après…
Creusons davantage. Quand les autorités nous disent que l’ultra-majorité de ces disparitions sont des fugues, pouvons-nous vraiment les croire ?
Si la vie nous a bien appris quelque chose, c’est d’avoir une méfiance solide envers ceux qui nous trahissent à longueur de journée. « Se méfier de ses ennemis… et de ses chefs » est une sage disposition quand on est dans l’armée française d’ailleurs…
L’État nous vole déjà notre argent tous les jours. Depuis le covid, il pille carrément nos libertés, sans sourciller. D’ailleurs, il n’y a pas de contrepouvoir à l’État.
Alors face à ce léviathan, ce gargantua vorace, pouvons-nous imaginer qu’il aille jusqu’à nous voler nos enfants ? Eh bien c’est déjà un peu le cas, et de manière officielle parfois. En effet, des bébés, à la naissance, sont arrachés aux bras de leurs mères, notamment quand elles sont jugées toxicomanes… Mais elles ne le sont pas toujours et/ou ce n’est pas comme si on manquait d’argent pour s’en occuper (on est très doué pour le gaspiller partout ailleurs !). Où vont vraiment ces bébés ? Un témoin de la scène c’est vu affirmer que l’enfant serait remis « à un couple de médecins »… mais aucun moyen de vérifier la véracité de cette affirmation.
Du reste, l’État vous vole déjà un peu vos enfants quand vous les placez dans les établissements scolaires. Il vous vole leurs esprits et leurs sens critiques. Regardez les enfants de maternel à qui on assène la théorie du genre en ce moment ! Et ces masques sur leurs visages ! Les profs aujourd’hui, sont des collaborateurs pur et dur du covidisme, c’est un fait ! L’État vole les vies des citoyens quand il les envoie combattre dans des guerres vide de sens. Ou quand il impose des injections expérimentales à la population !
Si on admet l’existence de réseaux pédophiles (plus que probable), on peut supposer que il faut des guetteurs et/ou des personnes bien informées sur ces enfants ?
_Il existe déjà les « pointeurs » à l’extérieur des établissements scolaires ou des jardins d’enfants. Mais ceux-ci peuvent simplement n’avoir qu’à guetter dans une rue. On me parlait l’autre jour que pour des raisons « d’écologie » il n’y avait plus d’éclairage dans la rue d’une famille. Ce qui fait que leur enfant allait, seul, à l’école, dans une rue noire… Et pour ma part, l’autre jour, j’ai vu une petite fille (je dirai 6 ans), toute seule, sur son petit vélo, aller à l’école, dans une rue très fréquentée par les voitures et les camions. Mais on marche sur la tête !
_Mais des observateurs, cela peut ne pas être suffisant pour certains réseaux. Pourquoi pas des personnes qui travaillent directement en contact avec les enfants ? Et justement, il y a déjà eu des cas d’enseignants arrêtés pour possession de contenus pédophiles voir pour des crimes pédophiles.
Un exemple parmi d’autres :
Même du temps où l’enseignement était aux mains de l’Église, on sait trop bien que il y a eu des crimes terribles. De 1970 à nos jours, le rapport Sauvé de 2021 a dénombré… « 330 000 personnes de plus de 18 ans ayant fait l’objet de violences sexuelles (…) quand elles étaient mineures, de la part de clercs, religieux ou personnes en lien avec l’Église » :
Oui le problème est monstrueux.
Oui c’est une hydre.
Et, non, au vu des chiffres énormes, il ne peut pas s’agir que d’actes isolés. Il y a des réseaux. Et justement, vous souvenez-vous du film « Taken » de 2008 ?
https://www.imdb.com/title/tt0936501/?ref_=nv_sr_srsg_0
Ce film co-écrit par Luc Besson, raconte l’histoire d’un père qui débarque à Paris après l’enlèvement de sa fille.
Un film choc.
Et pourtant, 13 ans après ce film, quelles garanties nos super-technocrates nous donnent-ils contre ces faits horribles ?
Absolument aucune.
Rien de rien.
Et quand on voit les encravatés et les voyous travailler de pair dans « Taken » on se dit bien qu’il y a quelque chose de louche…
Très louche…
Rappelons que la France n’est vraiment pas un pays sûr.
Selon Ouest-France : « 1950 agressions de tous types par jours ! »
Nous sommes bien désarmés face à ces faits innommables. Et nous n’avons que la prière pour refuge.
Alors prions ensemble :
« Marie, mère du Christ.
Aidez ces enfants.
Nous vous en supplions ».